Mars, te voilà, comme dans un rêve de beaux jours.
Tu parsèmes les pelouses de fleurs bleues,
De fleurs blanches, de fleurs jaunes.
Le vent de nord-est fraîchit et, malgré un beau soleil,
Les premiers insectes frissonnent encore,
En butinant dans les corolles à peine écloses.
Mars te voilà, le printemps est à ta porte.
Il frappera bientôt trois coups pour annoncer son arrivée.
Mars, c'est à toi d'ouvrir l'espoir
Pour détrôner l'hiver qui s'éclipse déjà.
1 commentaire:
Bonsoir Roland
Et oui , ça commence à bouger dans les herbes avec ce beau soleil , bon c'est vrai , il y a ce vent de nord/est qui est assez désagréable pour le photographe mais qui ne gâche en rien l'observation de la nature qui se réveille ...
Bonnes balades
Amitiés
Yves
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