jeudi 16 septembre 2010

Le panicaut maritime dans tous ses états.

A la mi-septembre, sur la dune, quelques panicauts pittoresques se distinguent et fleurissent encore. Leurs longues racines s'enfouissent dans les sables et puisent, en profondeur, une eau devenue rare.

Au voisinage, d'autres spécimens aux feuilles épiseuses commencent à se fâner. Coriace et résistant tout l'été au sel, au vent, au soleil, la partie aérienne se déssèche finalement et, avant de disparaître, montre de belles découpes, de belles dentelles ou encore des étoiles végétales.

De passage, le traquet motteux s'y perche. En hiver, seule la partie sousterraine du panicaut vit des réserves effectuées durant la belle saison. Le panicaut maritime, plante protégée en Bretagne, participe à la fixation de la dune.

[ infos ]













Aucun commentaire:

Message précédent Message suivant Accueil